BLISS ♦ Si la réincarnation existe, j'aimerais revenir en selle de vélo pour homme. END

AORA-RHEYNS BLISS
BLISS ♦ Si la réincarnation existe, j'aimerais revenir en selle de vélo pour homme. END 2hn51mb

Signalement
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Nom, prénom(s): Aora, un nom sans histoire, vous savez ce genre de nom qui passe inaperçu et que personne ne connait? A vrai dire, certaines personnes n'arrivent même pas à différencier son nom de son prénom : Bliss. Quel prénom étrange vous allez dire? d'ailleurs elle se plait à dire que ses parents étaient certainement trop camés lorsqu'ils ont choisis celui-ci, ce qui semble possible quand on connait ses parents.
Âge: vingt-six ans, certainement une année de trop, une année qui lui rappel qu'elle approche de la trentaine...
Lieu de naissance: Charlton Abbots, elle a toujours voulu quitter ce village, pouvoir se créer un avenir ailleurs et voir d'autres visages que celui de son emmerdeuse de voisine. Mais elle y a renoncé et y vit encore aujourd'hui.
Activités (emploi en quelque sorte): Elle aurait bien voulu être journaliste, ou archéologue, enfin ce genre de métier dont on rêve lorsqu'on est gosse et qui nous font voyager partout. Mais elle se contente d'être prof dans son village natale... Elle se console en se disant qu'on ne peux pas tout avoir, mais au fond elle les aimes bien ces petits gosses...
Caractère: Bliss est tout ce qu'il y a de... Surprenant! C'est d'ailleurs le mot qui qualifierai le mieux la jeune femme. Elle a un assez fort caractère, qui est quelque fois très difficile à supporter, d'un naturel assez crue, elle n'a pas la langue dans sa poche et ne peut s'empêcher de dire tous se qu'elle pense. Il est d'ailleurs préférable pour vous de ne pas être dans les parages lorsque la jeune femme est en colère car ça risque de tourner mal pour vous. Elle est assez vulgaire dans ses propos mais une vulgarité qui fait rire la plupart des personnes. Elle est d'un naturel très bavarde et a même quelque fois beaucoup de mal à se taire, la plupart du temps elle ne fait que se plaindre, même si au fond ; elle l'aime sa petite vie... Bliss à toujours ce mot pour vous remonter le morale ou vous faire sourire, au fond c'est une vraie chieuse... mais une chieuse très attachante.

Arrêtons le fictif un moment
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Pseudo: ...
Âge: 16 ans
Avatar: Marion Cotillard.
Commentaires: ...

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DICTUMS LJ

Anecdotes one

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« Notre chère monsieur Selwean serait peut-être trop fière pour m’embrasser ? »

« On est plus des enfants »

« Pourtant je ne vois pas de d’adultes ici, ni même un semblant… »

« Ce n’est pas un jeu Aora »

« Pour moi ça l’est. »

Il me fixait longuement, un lourd silence s’était installé dans la pièce, embrasse moi idiot et vite avant que je brûle sous la pression. Nous n’étions plus des gosses, non, et le regard que nous nous portions autre fois avait bien changé ; nous, jeunes adolescents, jeune cons, avions grandit. La petite fille que j’étais, avec ses dents de laits, ses cheveux en batailles que sa mère désespérait à dompter, avait fait place à une semi femme. Je ne sais pas si c’était ces saletés d’hormones qui parlaient, mais le désir que j’éprouvais pour lui me faisait peur. Avant, il n'était qu'un simple camarade de jeu, nous étions encore jeunes certes, mas seize ans ça changeait beaucoup de size ans. Nos respirations étaient haletantes, se fracassant en un souffle chaud sur nos visages, je suffoquais, j’étouffais, dépêche toi de m’embrasser Selwean, ou je te jure que ça va mal aller pour toi. À mon habitude je le défiais du regard, comme si cet acte était un simple pari, un simple jeu, une connerie de plus à faire…Je me semblais déconcertante, beaucoup trop surprenante, mais après tous on s’aimait depuis qu’on était gosse. Il s’approchait lentement, à croire qu’il voulait me faire crever de désire, jusqu’à se que nos lèvres s’écrasent brutalement l'une contre l’autre, notre souffle se faisait saccadé comme si je n’avait plus eu de clope depuis un jour entier… 10 ans de longue attente pour pouvoir enfin gouter à ses lèvres, c’était bien trop agréable, c’était meilleure que tout ; il était ma dose d’héroïne –auquel je n’avais jamais goutée-, moi sa dose d’adrénaline, nous étions la vie. Il se détacha de moi avec un sourire aux lèvres ; « C’est toujours un jeu pour toi ? », je le serais encore un peu plus fort contre moi « On peut dire ça… », Il connaissait mon sourire ironique. Bien sure j’étais bien trop fière pour lui dire que c’était bel et bien la réalité, que toute forme de nos jeux stupides avait disparut à l’ instant où il m’avait embrassé. Nous étions jeunes et cons mais nous nous en foutions, tant que nous étions ensemble.

* * *

Quand il me prend dans ses bras, il me parle tout bas, je vois la vie en rose…La vie en rose, quelle pure connerie. Si courte soit-elle, elle n’aura durée que 2 ans sans compter ses disputes invivables. « Bliss calme toi s’il te plait.. » Je me retournais vivement, comme un félin prêt à bondir sur sa proie « Me calmer ? T’es vraiment gonflé mon pauvre ! Ta poufiasse elle était calme quand elle t’a téléphoner au bord de l’orgasme ? Et bouge tes sale pattes de ma guitare sinon je vais t'égorger, et crois moi étant donné que tu n'est pas un animale a proprement dit je n'aurai aucune pitié!» Il savait qu’il ne fallait pas me froisser, que je m’emportais vite et que j’avais du mal à écouter quand on m’emmerdait, oui j’étais difficile à vivre, mais lui tout autant que moi, au faite, on allait vraiment bien ensemble même si on s’engueulait deux fois par jour. « Arrête ton cinéma et écoute moi bordel ! Ce n’est pas ce que tu crois » Je croisais les bras sur ma poitrine et émit un léger rire nerveux, vous savez ce genre de rire qui vous échappe quand vous perdez le contrôle de vous même. « Tu te fou de ma gueule j’espère ? T’as pas trouvé autre chose comme phrase à la con à sortir comme tous ces autres connards ? Je croyais que tu étais différents Selwean…» Et il l'était, mais j'étais beaucoup trop énervée pour m'en rendre compte. Il ne m'avait jamais trompé, on s'aimait trop pour ça, c'était juste un mal entendu. Effectivement je m'emportais beaucoup trop vite, et encore aujourd'hui je le regrette, même si ce foutu défaut fait encore partie de mon caractère, huit ans après son départ. Des larmes roulaient lentement sur mes joues que j'essuyai d'un revers de manche, j'avais horreur que l'on me voit pleurer, que l'ont voit mes faiblesses, saleté d'orgueil! Il sourit à ce geste, comme s'il me connaissait par coeur, ce qui était sans doute le cas. Je sentit son étreinte sur moi, essayant de le repousser mais mon obsession pour lui était bien trop forte pour ça. Nous nous livrâmes à notre amour et notre désir l'un pour l'autre, oubliant la querelle qui venait de se produire il y a quelques minutes... Mais au fond c'était toujours comme ça, on se détestait et puis on s'aimait d'un amour ardent quelques minutes plus tard...

* * *

Le lendemain matin, je me réveillais avec le soleil sur mon visage, comme si ça allait être une bonne journée, comme si j’allais prendre mon café serré comme chaque matin et qu’il allait me réchauffer de son bonjour habituel, tel un éclat de soleil sur mon visage. Foutue journée plutôt, et pourtant je me réveillais avec le sourire aux lèvres, comme une naïve. C’est lorsque ma main effleura le bout de papier posé sur l’oreiller que mon sourire s’effaça, et encore, il pouvait toujours se comporter comme un gentleman en faisant pardonner sa courte absence avec des mots doux, des mots dont toutes les femmes rêvaient. Mais au fond de moi, je savais que c’est conneries d’histoire romantique n’existait que sur l’énorme écran télé en noire et blanc. Au lieu de ça il avait griffonné trois simples mots « je suis désolé ». Mon cœur était partit avec sans doute. J’avais dix-huit ans, j’étais jeune et conne et même mon foutu caractère ne pouvais supporter un tel affront. Cette connerie de nouvelle maison de rêves, tout juste achetée par nos parents, les taches de peintures sur le mûrs que nous avions fait lorsqu’on venait d’emménager, tel des gamins qui s’amusaient, nos éclats de rire qui flottaient encore dans la pièce, notre matelas minable qui était posé par terre attendant un lit pour être soutenu et qui avait encore la forme de son corps, nos dégoutants débris de pizza de la veille suivie par ses taches de tomates sur le sol qui marquaient une bataille de sauce tomate, nos mégots dans le cendrier près à déborder, la radio encore allumée qu’on avait juste éteint le son. Tous dans cette baraque me semblait insupportable. Nous étions fous, j’étais folle. J’avais envie de tous carbonisé, de tous foutres en l’air par ma simple colère. Mes larmes coulaient à flot tendit que mes nerfs se défoulaient sur ses vases pathétiques qui puaient l’amour. Je devais m’échapper de cette vie parfaite qui venait de s’écrouler à mes pieds…

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“Pendant longtemps, j'ai conduit ma vie comme si j'étais dans un show. Je jouais à la rock star vingt-quatre heures sur vingt-quatre, au point de devenir une caricature de moi-même. Lorsqu'on reçoit beaucoup trop d'attention, comme cela m'est arrivé, on risque de régresser à l'âge de l'enfance. C'est très dangereux, car on devient incapable d'exister sans le regard de l'autre. Et, artistiquement, on n'a plus rien à offrir. Il m'a fallu du temps pour comprendre que la plus grande escroquerie, c'est d'essayer de ressembler à sa légende. ”
Mick Jagger - The Rolling Stones

Anecdotes two

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« Mais c’est quoi cette connerie de Jim ? »
« Déjà c’est JIMI et puis tu n’a aucune culture mon pauvre ! Jimi Hendrix c’est un dieu de la guitare et un putain de chanteur, mais si les gens sont tous aussi con que toi c’est sure qu’il ne saurait pas aller loin… »
« Ouai encore un défenseur de la musique camé jusqu'à l’os… »
« Mais est-ce que je m’occupe des tes pauvres omars cuits vivants moi ?»
« Tu sais que des fois tu ressembles vraiment à une hippie avec ta guitare et ton adoration pour la salade… »

Je laissais tomber ma fourchette dans l’assiette, le bruit grinçant ne me venait même pas aux oreilles. J’élargissais un sourire espiègle sur mon visage, il allait voir celui-là ce que disait l’hippie. Lorsqu’on a vécu dans une famille principalement composée d’hommes je peux vous dire que vous en voyez de toutes les couleurs, et que vous ne manquez pas de petites astuces pour leur clouer le bec. Et apparemment mon cher grand frère n’avait pas encore compris la leçon…J’étais sure de moi, de se que mon geste allait provoquer et je savourais la victoire à l’avance. Je me levai de la banquette du café, et me dirigea vers le jukebox, j’adorais cette machine, étrangement elle me rendait de bonne humeur, joyeuse. J’y glissai une pièce et sélectionna le titre. Rien qu’au première note il me fit provoqué, et l’effet que la mélodie provoquait chez les clients du restaurant était instantané, ils tapaient du pied, sifflotaient, riaient sur les accords de guitare et la voix entraînante de Jimi Hendrix. Je ne l’aimais pas parce qu’il était connu, et c’était d’ailleurs se que je reprochais à tous ses débiles suiveurs de mode. Moi, je l’aimais bien avant que ses tubes soient écoutés sur toutes les radios pirates, je ne l’aimais pas pour son succès mais pour son talents. Je tournais un regard trionpheur vers mon aîné qui regardait autour de lui avec stupéfaction. « Mon cher Emrys… Tu me considère peut-être comme une hippie mais toi tu es ignorant mon pauvre ! Et en plus de ça un ignorant marginal. »

MARION EST SUBLIME ! I love you

Tu hésite avec qui ? Bienvenue !

Merci! Tout comme Sienna
Et bien au faite je voyais bien Marion dans le rôle de mon personnage pour le caractère ; Franche, assez crue dans ses propos, simple, naturelle, assez fort caractère.

Mais sinon j\'hésitais aussi avec Blake lively (qui a se côté douce qui n\'appartient pas au caractère du personnage mais qui pourrait aussi convenir), ou Sophia Bush aussi... Et puis je n\'ai pas trop d\'autres idées

J'adore ton prénom BLISS ♦ Si la réincarnation existe, j'aimerais revenir en selle de vélo pour homme. END 489649

& bienvenue !

Personnellement je préfère Marion ! Elle colle beaucoup plus en effet, puis c'est Marion.
Dis nous dès que tu as fait ton choix Bonne chance pour ta fiche.